måndag 9 april 2018

DEVOIR DE MÉMOIRE: AVRIL 1989 , LES LARMES DU PRÉSIDENT ABDOU DIOUF

 « Je ne pensais pas qu’on pouvait, en cette fin du deuxième millénaire, réserver à des êtres humains, à des semblables, un traitement aussi inhumain et dégradant. (…) Je comprends donc parfaitement la peine et la colère que ressent le peuple sénégalais car, je l’avoue, le chef de l’Etat a été excédé et indigné, l’homme tout court blessé dans sa chair par ce qu’il a entendu. ». Abdou Diouf président du Sénégal après sa visite au CTO de Grand-Yoff.

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