27 Septembre 2011- 27 septembre 2021, il y a 10 ans jour pour jour que le régime raciste et ethnogénocidaire du général putschiste Mohamed ould Abdel Aziz tirait sur notre jeune camarade LAMINE MANGANE (16 ans) de Maghama devenu aujourd´hui le symbole d´une jeunesse meurtrie et qui refuse.
"Je n´oublierai jamais, moi, la vie mouvementée d´Exilé, pourchassé de ville en ville, les journées sans but et les nuits longues interminables où le mal du pays vous tient l´oeil ouvert et vous déchire les entrailles". Tène Youssouf Gueye auteur de "les Exilés de Goumel" assassiné dans la prison mouroir de Oualata par le régime ethno-génocidaire de Nouakchott.
tisdag 28 september 2021
Nous sommes Lamine Mangane
Goggo Boombel, une voix de révolte s'est éteinte.
Nous venons d'apprendre avec une grande tristesse le rappel à Dieu de notre chère tante, maman, soeur Boombel Isma Wélé, décès survenu aujourd'hui à Jowol.
Kaaw Touré, portait d’un grand combattant de la liberté par Abou Hamidou Sy
Il y a longtemps que ce projet me taraudait l'esprit, rendre hommage à ce camarade convaincu, cet ami fidèle et ce confident muet comme une tombe. Mais en réalité, je ne savais ni sous quel format, ni quand entamer cette tâche, encore moins par quel bout commencer, tellement l'Homme est multidimensionnel. Fallait-il écrire sa biographie? N'était-il pas très tôt de parler de quelqu'un qui n'était qu'au zénith de sa vie? Me disais-je parfois. Fallait-il parler de l'Homme de culture? Du technocrate? (Vous avez bien lu technocrate) ou tout simplement du militant invétéré?
Mais
assez d'excuses, lasse que je suis de voir des " portraits" de ce
grand combattant de la liberté qui, même mis bout à bout ne capturent pas toute
la dimension de l'homme. Au risque de l'indisposer, connaissant son humilité
naturelle, sa modestie sincère et sa sobriété légendaire; j'ai décidé
aujourd’hui de me jeter à l'eau, il aurait certainement préféré l'expression
" franchir le Rubicon" eu égard à son raffinement culturel.
Je vais
vous raconter mon très cher ami Mohamed Toure dit Kaaw ou tout simplement
Elimane Bilbassi comme il a fini par être connu dans le monde virtuel; Kaaw
Tokossel pour la famille. L'inamovible chargé de communication et porte-parole
des FPC. Mais je préfère l'appeler par son sobriquet peu connu de N'GUZ.
J'ai
connu Kaaw pendant les années de braises; lorsque nous étions tous deux très
jeunes, mais " il mangeait déjà avec les grands" tellement " ses
mains étaient propres". Ceux qui l'ont côtoyé peu avant moi m'ont rapporté
un militantisme précoce. Pouvait-il en être autrement pour cet enfant né à
quelques jets de pierres de la mythique
"
Ceenal Bilbassi"? Kaaw a commencé à militer dans les langes, j'allais dire
dans le berceau mais ceux-ci sont inconnus dans sa contrée; Diowol Saaree
Sebbee; car confronté comme tout enfant negro-mauritanien au racisme brut,
presque normal de l’Etat. Mais n'étant pas un enfant comme les autres, il n'a
pas passé longtemps à chercher la réponse. Il a vite compris, il fallait
résister. C'est pourquoi il s'engagea très tôt dans la résistance culturelle, à
travers la légendaire association " Jaalo Wali". Il était loin de
savoir en ce moment-là, que le régime lâche de Taya l’avait déjà dans la visée.
De guerre lasse, les forces de sécurité finirent par le jeter au gnouf comme il
dirait, lui et ses camarades écoliers; d'innocents mômes. Voulait-on les
humilier ou les dompter. Mais c'était sans compter avec la témérité de ce
descendant des seigneurs du Mandé.
La
bienveillance de Dieu, la protection de ses ancêtres et les bénédictions de ses
parents finirent par le faire traverser le fleuve. Et c'est au pays de la
Teranga qu'Elimane Bilbassi fourbit ses armes pour aller à l'assaut de l'Etat
raciste mauritanien.
Prêtez
moi alors vos oreilles (vos yeux dans ce cas), je vais vous narrer dans mon
style droit, (celui qu'il me connait bien) c'est à dire venant droit du Cœur,
que la raison n'a pas encore enjolivé. Cette curieuse raison qui a toujours
tendance à peser et à sous-peser toute parole contre les normes sociales quitte
à en faire souffrir la vérité.
Assurément un seul jet ne suffirait pas à appréhender N'GUZ car sa vie est
…toute une vie.
Kaaw
Toure l'intellectuel:
Ce qui frappe de prime abord chez Kaaw est sa maitrise de la langue de Molière
et sa très vaste culture littéraire. C'est de loin l'un des meilleurs de notre
génération, celle des 88ards. Je peux même affirmer sans ambages que
"c'est le meilleur parmi eux" comme dirait sa favorite tante Viviane
Wade. En effet, dans le même texte, il peut convoquer la mythologie grecque,
citer un auteur de la pléiade et décrire une fresque orientale.
Surprenant pour quelqu'un qui a connu l'école formelle dans la deuxième
décennie après les indépendances ou tout foutait le camp en Mauritanie, au
moment où la médiocrité et le desordre généralisé s'installait avec
l'arabisation des premières années de l'enseignement fundamental.
Il
n'était pas non plus bien loti au lycée Limamoulaye, qui était bien loin de
l'excellence qu'il connait aujourd’hui, mais comme à son habitude, il a su tiré
son épingle du jeu et passé son bac avec brio au-dessus de la mêlée.
C'est à
la prestigieuse Ecole nationale d'Economie Appliquée (ENEA) qu'il a fait ses
humanités, ou il a côtoyé de nombreux cadres africains: des béninois,
nigériens, tchadiens, des comoriens… qui sont retournés occuper de hautes
fonctions dans leurs pays ou dans des organisations internationales.
Que de
ministres ou de directeurs que Kaaw connait, personnalités qui ont lui offert
de nombreuses opportunités qu'il a toutes declinées préférant continuer la
lutte. "La lutte continue" qui ne lui connait pas ce slogan?
Il aurait
pu être un Enarque, personne n'aurait rien à y redire car c'est un prodige. Ce
littéraire reconverti est en réalité un ingénieur de formation, qui l'aurait
cru. Ne vous y trompez guère, son éternel béret français ne cache pas seulement
une grosse tète, mais une tête bien pleine, celle d'un planificateur doublé
d'un démographe. Quel gâchis pour la Mauritanie!
Mon ami
est un artiste accompli, je dirai presque complet. En effect, Kaaw est un
chanteur, compositeur, poète, parolier, écrivain, dramaturge… Les seules formes
d'art qu'il n'a pas taquiné sont le 7eme ou peut être les arts plastiques,
encore que ça ne serait pas surprenant s'il s'y aventure de temps à autres, lui
qui fréquentait la même gargote que Joe Ouakam.
N'GUZ est un polyglotte; il comprend l'arabe, s'exprime très bien dans la
langue de Shakespeare, maitrise le suédois… Curieusement la seule
langue qui semble lui échapper est celle de Kooc Barma, même
Lobbatt Fall la parle mieux que lui.
Kaaw Tokossel l’Homme
Kaaw Tokossel est courtois, affable et de
commerce facile; le sourire toujours en bandoulière. De son allure débonnaire
se dégage une bonne humalteur contagieuse. Il lui arrive de piquer des crises
de rire qui peuvent durer des heures et des heures, ce rire si caractéristique;
mi-gémissements, mi-gazouillements.
Comme ce jour où je lui raconta l’histoire de
ce vieux peul qui vivait à Marseille dans les années 50 et qui était de passage
au siège des FLAM à Ouagou Niayes. Ce vieux nous raconta, camarade Thilo
Niang(épouse du président Samba Thiam) et moi: qu’un jour revenant de
Marseille, leur avion tomba en panne en plein vol et ils étaient suspendus dans
les airs pendant plus de 2 heures en attendant l’arrivée des secours de Dakar.
Thilo lui lançait de temps à autre des » Alaa Baaba… », le vieux renchérissait
de plus belle : ”Arrivé sur les lieux, l’avion de secours nous jetta des
cordes, accrocha notre avion nous tira jusqu’à Dakar…”. Le jour je lui rendu
compte de cette conversation, Kaaw rit jusqu’aux larmes; il en riait des
semaines durant de cette prouesse des secouristes de cet avion particulier.
Kaaw est un pur Torodo, pas dans le sens peul
ou féodal du terme, très vague a mon sens; mais plutôt dans le sens maure du
terme ; un Zwaya, c’est a dire un noble (Dimo), humble et généreux au service
des petites gens ( excusez l’expression). Je ne l’ai jamais entendu « crier sa
torodité » on dirai qu’il s’en veut d’avoir naquit dans une grande famille des
”Elimane Jowol” ou Almamy, tellement il est modeste. N’GUZ est très généreux,
une générosité spontanée, naturelle, et désintéressée. Il donne tant en période
de vaches grasses qu’en période de vaches maigres. Il n’est pas de ceux,
nombreux qui ne donnent que le trop plein; mais partage tout le temps car c’est
sa nature. Les rares moments ou il lui arrivait de » ramasser le calepin d’un
blanc », il attendait des jours et des jours de voir l’un de nous, camarade
Ousmane Amadou Diallo ou moi et nous lancait: »Sehilam ar nyamoyen gertoode ».
Toujours l’esprit de partage, c’est comme ca qu’il est.
Le plus étonnant chez Kaaw est l’évantail de
gens qu’il connait. Des personnes de toute condition sociale. Des quartiers
populaires, à la bourgeoisie en passant par la banlieue.
Le landerneau politique sénégalais est son
terrain de prédilection, la lutte oblige. Il s’y sent à l’aise jusqu’en devenir
le chouchou. Kaaw peut causer avec Talla Sylla, plaisanter avec Abdou Fall ou
débattre avec feu Pr Sémou Pathé. Son rôle de porte-parole des ex-FLAM qu’il a
si bien rempli a fait de lui une sorte de mascotte des organes de presse au
Sénégal avant son expulsion de ce pays frère en 1999 suite aux pressions
diplomatique de la Mauritanie. Ces relations avec les médias? Je ne vais même
pas m’y attarder; » It’s very simple » come on dit ici: Kaaw connait tous les
journalistes et touts les journalistes connaissaient Kaaw. Il va de soit que le
milieu Haal pulaaren ne saurait demeurer en reste. En vrai Fuutanke enraciné,
Elimane Bilbassi a su y cultive des relations solides et diversifiées avec les
différentes associations culturelles. Il est l’ami du vendeur de lait du coin,
du vendeur du journal de la rue, du cireur des chaussures, prend le thé avec
Ngaari Laaw et peut tapper à la porte de Samba Diouldé Thiam ou d´Alioune Tine
de la Raddho à n’importe quel moment. C’est ce substrat de qualites humaines
qui font de Kaaw le grand militant qu’il a toujours été.
Kaaw Toure le
militant
Kaaw est un vrai militant, un militantisme
sincère et dévoué. Loin de cet activisme mégalomaniaque oh combien fréquent
chez nous, des « militants » qui viennent à la cause juste pour pavaner leur
petite personne. Toutes nos organisations ont connu ces fanfarons avec leurs
phraséologie sans tête ni queue qui accourent en masse au début, mais ne
tardent pas à se dérober dès que les choses sérieuses commencent. Et ceux
nombreux qui ne cherchent qu’à se faire un nom dans lutte avant d’aller vendre
leur âme au diable pour quelques strapontins.
En vérité, il n’est pas facile de militer; en
dehors des obstacles inhérents à toutes lutte de libération; longue durée,
déséquilibre des moyens, dissentions…, la notre est plombée par des facteurs
intrinsèques uniques à la societé négro-mauritanienne. En effet, nos normes
sociales font qu’il y a un âge pour tout; un âge pour s’amuser, apprendre,
travailler, fonder une famille et aller à la mosquée. La lutte, tant et si bien
qu’elle soit nécesaire parfois, ne saurait être qu’une étape de la vie située
probablement entre s’amuser et apprendre. La preuve, touts nos combats sont en
majorité portés par les élèves, étudiants ou chômeurs contrairement a beaucoup
de societés ou il y a une adhésion totale à la cause et une distribution des
rôles en fonction des capacités de chaque groupe d’âges. Dans notre société,
les pressions sociales opèrent une espèce de séléction naturelle qui ne
présérve que les individus résistants.
Il y a ceux, qui, à la moindre pression,
cédent et ne résistent pas; il y a ceux qui plient et ne rompent pas, mais il y
a surtout ceux qui tiennent ferme et ne vacillent pas. Kaaw fait partie de
cette poignée de militants qui ont mis leurs vies entre parenthèses le temps de
la lutte. Il n’a jamais cherché à se caser dans un travail bien rémuneré pour
oublier la lutte ou à s’émigrer. Il n’a fondé de famille que tard dans la vie.
Comme ces nombreux rebelles qui ont juré de ne se jamais raser la barbe avant
la victoire.
Elimane Bilbassi saisi chaque occasion pour
faire avancer la cause, comme le jour ou il faillit transformer sa soutenance
en réquisitoire contre Taya et son régime. L’un des membres du jury n’ayant
rien touver à lui reprocher, lui lanca ceci:”…je ne sais pas qu’est ce que la
lutte contre le racisme en Mauritanie vient faire dans un mémoire de l’ENEA où
vous parlez de l´économie>>. Kaaw lui rétroqua alors à peu prés ceci:
”Les noirs sont opprimés en Mauritanie par un régime raciste, qui nous a jété
sur le chemin de l´exil et dont le but était de nous ”clochardiser” et de nous
fermer toutes les portes de réussite. Ce travail est aussi le fruit de notre
lutte, de notre résistane donc je n’ai fait que dédier mon travail à mon peuple
opprimé…”. C’est comme ca qu’il est mon ami, la lutte est l’épicentre de sa vie
et toutes les occasions sont bonnes pour livrer le message. Bien sûre que je
vais paraphraser Samba Diallo de l´aventure ambiguë de Cheikh Hamidou Kane: ”
Kaaw ne vit pas, il milite”.
D’aucuns le comparent à Biko ou Madiba, quelle
abérration, comme s’il pouvait être l’un ou l’autre. Il est la synthèse des
deux, il la détérmination du premier et la clairvoyance du second. Il
resemblerait plutôt à Ahmed Kathrada dans son rôle de conseiller efficace et
confident discret du président Samba Thiam. Je ne lui ai jamais connu une idôle
particulière, même si on le soupconnait d’un brin de Sankarisme, mais c’était
tendance à l’époque. Il pouvait admirer Ghandi, Malcom X ou le Dalai Lama… Il
est défenseur de toutes les causes justes. Je me souviens encore de nos longues
conversations pendant les intérminables conférences nationales africaines au
début des années 90, nous étions tous excités car persuadés que nous étions,
que cette vague de démocratisation atteindrait un jour les rivages de notre
pays.
Nous étions tous derrière les leaders des
oppositions africaines qui allaient, pensions nous, débarrasser l’Afrique de
cette vieille garde corrompue. Tshisékédi, Agbayibor, Koléla, Albert Zafy,
Gbagbo, Sogolo, et même Jean Nguza Karl-I-Bond… tels étaient nos nouveaux
héros.
L’une de nos rares pierres d’achoppement était
sa farouche opposition aux tribunaux internationaux qui ne jugeaient à son avis
que les africains, moi plutôt libéral, j’étais pour le droit d’ingérence. Mon
avis était et demeure que c’est par ce que les africains ne montrent aucune
volonté de prendre en charge leurs problèmes qu’ils se font dicter les
solutions.
Je m’en voudrait de terminer cet article sans
répondre à tous ceux qui l’accusent parfois de militer derrière le clavier;
laissez moi vous dire, Elimane Bilbassi a milité avant l’avènement du clavier
ou de la démocratisation de la parole en Mauritanie. C’est à pieds qu’il
distribuait des tracts et nuitamment sous le couvre feu écrivait sur les murs
sous le régime militaire à l´intérieur du pays, redigeait et distribuait notre
journal « Le Flambeau »(journal interdit en Mauritanie) dans toutes les
rédactions dakaroises et internationales et les représentations diplomatiques
au Sénégal. Pendant que certains bavardaient, il faisait les cents pas devant
les bureaux dans l’espoir d’apercevoir une autorité à sensibiliser sur la
situation en Mauritanie. Pendant que d’autres théorisaient, il faisait le pied
de grue devant les hôtels pour alerter les hôtes de passage sûr les dérives de
Mouawiya. Bien avant l’Internet il a porté la parole partout en Afrique et dans
le monde; au pays Mossi, au Kunaari, jusqu’au désert du Kalahari et en
Scandinavie.
Il avait tissé son propre réseau social, réel
celui là; pas virtuel, avec la création de Flamnet qui était devenu le premier
forum libre et d´échanges entre exilés mauritaniens et compatriotes de
l´intérieur. Ceci bien avant Twitter et WhatsApp, bien avant que la mère de
Marck Zuckerberg, le fondateur de Facebook pour paraphraser celui que vous
savez.
Mais ne dit on pas que derrière chaque grand
Homme il y a une grande Dame, si Kaaw s’est encore bonifié c’est grâce à ma
très chère cousine Arwa Dieng qui non seulement a réussi la prouesse de
cultiver le haricot tropical en plein climat boréal mais a su s’occuper de mon
très cher ami.
Voila N’Guza, mon « serpent est descendu » comme
on dit chez nos cousins et voisins Wolofs, j’ai dit tout ce qui était «
écrivable ».
J’ai
passé sous silence les nombreuses tentatives de corruption, des propositions
mirobilantes pour des retournements de veste dont tu as été l’objet et tous les
trucs que tu utilisais pour tromper et déjouer la vigilance des forces de
sécurité et agents de renseignements qui étaient à tes trousses et qui te
voulaient du mal pendant ton exil sénégalais.
Que Dieu te donne longue vie et protège ta
petite famille pour que la lutte continue jusqu’au dernier souffle.
La lutte continue!
Abou Hamidou Sy- FPC-Amérique du Nord.
måndag 27 september 2021
ANNDUDE ASKO MUM KO WUURTINDE ENDAM MUM.
ANNDUDE ASKO MUM KO WUURTINDE ENDAM MUM.
TÉMOIGNAGE: JE SUIS VRAIMENT TOUCHÉ ET ÉMU: NJAAY SAYDU
Je suis vraiment touché et ému par le témoignage de ce grand écrivain-poète mauritanien et un des gardiens du temple et pionniers de la promotion de nos langues et cultures en Mauritanie, je veux nommer mon grand-frère, cousin et oncle Saidou Amadou N'diaye plus connu dans le monde culturel du Fouta et du pulaagu sous le pseudonyme de "Gelongal Fuuta".
ANECDOTE : Le Paradis
Un homme demanda un jour au grand Érudit Foutanké l'homme de Dieu feu Elhadj Mahmoud Ba le fondateur des écoles El Falah en Afrique :
DEVOIR DE MÉMOIRE ET REFUS DE L'OUBLI ET DE L'IMPUNITÉ: LAMINE MANGANE
27 Septembre 2011- 27 septembre 2021, il y a 10 ans jour pour jour que le régime raciste et ethnogénocidaire du général putschiste Mohamed ould Abdel Aziz tirait sur notre jeune camarade LAMINE MANGANE de Maghama devenu aujourd´hui le symbole d´une jeunesse meurtrie et qui refuse
LES ÉTERNELS RÉCIDIVISTES!
La récidivite est une maladie bizarre qui ne frappe fort heureusement que d´avérés gesticulateurs et autres porte-faix du Système. En cela elle ressemble au vertigo par le contour équestre qu´elle donne aux reptations des victimes. Imaginez une coquille grouillante tant par sa viduité que par le tintamarre
NOTRE COMBAT
Notre combat est des plus hardis mais aussi des plus exaltants. Nous le continuerons en restant unis dans la détermination et dans la fidéli...
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Exclusif. Kaaw Touré Porte-parole des Forces Flam à « mauriweb.info »: «Tout se conjugue pour le grand retour au pays natal » Publié p...
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Vue de loin pour bien des gens, la Mauritanie apparait comme un pays tranquille, calme sans problème majeur, stable même aux dires de ses d...
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Essayons de rafraîchir ou de réchauffer les faits, pour ceux qui ont encore une mémoire courte. Au sortir de sa guerre avec l’Iran, guerr...