onsdag 17 april 2019

Abdou Diouf et avril 1989

« Je ne pensais pas qu’on pouvait, en cette fin du deuxième millénaire, réserver à des êtres humains, à des semblables, un traitement aussi inhumain et dégradant. (…) Je comprends donc parfaitement la peine et la colère que ressent le peuple sénégalais car, je l’avoue, le chef de l’Etat a été excédé et indigné, l’homme tout court blessé dans sa chair par ce qu’il a entendu. ». Abdou Diouf président du Sénégal après sa visite au CTO de Grand-Yoff

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